S’adressant à une chaîne de télévision de la capitale, le vice-ministre hondurien des Affaires consulaires et migratoires, Antonio García, a expliqué que quelque 130 compatriotes sont arrivés à bord d’un avion militaire et que le reste (environ 350) à bord de deux vols charters.
Le vice-ministre a indiqué que les compatriotes revenus par vol militaire ont été récemment détenus à la frontière dans le cadre des ordres controversés de Trump qui a lancé une sorte de chasse à l’homme contre les citoyens de plusieurs pays, notamment latino-américains.
García a précisé l’un des accords avec les autorités états-uniennes pour permettre l’entrée d’avions militaires sur le territoire national est que ses concitoyens ne soient pas menotés.
Selon les données du ministère des Affaires étrangères, au moins 250 000 Honduriens sont confrontés à une procédure d’expulsion aux États-Unis, même si tous ne sont pas détenus.
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