Voltaire a qualifié de préoccupantes les disparitions de citoyens et l’augmentation des cas de crimes liés à ce commerce illégal.
Les parties vitales du corps comme les reins, le foie et le cœur sont prélevés et vendus à l’étranger pour des sommes astronomiques, a-t-il précisé.
Le trafic d’organes est un fléau mondial, et Haïti ne semble pas en être exempt, a déploré Voltaire cité par le site numérique Kominotek News.
Selon Kominotek News, ces disparitions pourraient être entraînées par des réseaux internationaux qui exploitent la vulnérabilité des personnes dans des contextes d’instabilité politique et sociale.
Il est essentiel de lancer une campagne d’information sur les risques que pose ce fléau, mais des mesures plus larges et plus concrètes seront nécessaires pour éradiquer cette pratique, a estimé ce média.
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