« Personne ne choisit d’être un réfugié. La guerre, la violence ou la persécution forcent les gens à tout laisser derrière eux et à demander l’asile. Rejoignez l’appel du HCR pour que soient respectés les droits des personnes forcées de fuir », a déclaré l’ONU sur son profil X.
Selon le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), « chaque année, des millions de personnes – femmes, hommes, filles et garçons – sont obligées de quitter leur foyer pour échapper aux conflits et aux persécutions ».
Dans ce contexte, le HCR a souligné qu’il les soutient et les accompagne toujours, depuis le moment où une crise éclate jusqu’aux mois – voire aux années – où ils restent déplacés de leurs foyers.
Il fournit également une assistance vitale et une protection dans les situations d’urgence ; plaide en faveur de meilleurs systèmes et lois d’asile afin que les personnes déplacées puissent accéder à leurs droits et les aide à rentrer chez eux en toute sécurité ou à construire un avenir dans un autre pays.
En outre, a ajouté l’entité, elle s’efforce de garantir que les apatrides obtiennent une nationalité, leur permettant ainsi d’accéder à des droits fondamentaux tels que l’éducation et les soins de santé.
Selon le HCR, même selon les normes des dernières années, 2024 a été une année de bouleversements avec l’éclatement de nouveaux conflits, l’aggravation des crises existantes et la multiplication des catastrophes liées au climat.
En conséquence, le nombre de personnes contraintes de fuir leur foyer en raison des conflits et des persécutions a atteint près de 123 millions à la fin du mois de juin, a-t-il indiqué.
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