Motley a rejeté les menaces du gouvernement des États-Unis sur la traite présumée d’êtres humains en acceptant la coopération cubaine et a rappelé que son gouvernement avait condamné cette affirmation y compris lorsqu’elle a tenté d’être propagée sous l’administration de Joe Biden.
«Sans les médecins et infirmières cubains, nous ne pouvions pas surmonter la pandémie de Covid 19», a-t-elle souligné, tout en réitérant que si le gouvernement des États-Unis ne l’entend pas ainsi, perdre son visa pour entrer dans ce pays ne l’intimide pas.
Motley a ainsi fait référence à la décision du Département d’État nord-américain de priver de visas ceux qui ont soutenu ou soutiennent le programme cubain de coopération en matière de santé.
Elle a affirmé sa volonté de réitérer aux États-Unis, avec le reste des Caraïbes, que « ce que les Cubains ont pu faire pour nous, loin de ressembler à la traite d’êtres humains, c’est sauver des vies et la vue de nombreux Caribéens ».
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