« Réunion diplomatique ou sketch décrépit de comédie? », a questionné le diplomate bolivarien à travers son compte sur le réseau social Telegram.
Gil a dénoncé le fait que la prétendue « réunion de haut niveau » entre Albares et González ressemble plus à une tâche commandée depuis Miami qu’à un acte de politique étrangère.
Il a souligné qu’il s’agissait d’une rencontre destinée à rendre des comptes au secrétaire d’État nord-américain, Marco Rubio, qu’il a qualifié de « véritable chef de cette tragi-comédie déguisée en diplomatie ».
L’ex-candidat à la commission, reconnaissant pour l' »accueil et la protection » de l’Espagne, joue son rôle avec enthousiasme : celui de marionnette, vaincu par la réalité et soutenu par la tromperie, a manifesté le ministre.
Le ministre vénézuélien des Affaires étrangères a déclaré que cela n’a rien à voir avec le Venezuela, car il s’agit « d’un spectacle pour alimenter les gros titres et justifier un leadership de l’extrême droite qui n’existe que sur les réseaux sociaux… et dans les rapports envoyés à leurs parrains du nord (les États-Unis) ».
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