Lors de son intervention, Al-Sudani a souligné que l’entité sioniste avait utilisé des prétextes fallacieux pour élargir la portée du conflit et que le problème de base était la négligence des droits palestiniens.
Le chef du gouvernement irakien a souhaité que le prétendu accord de cessez-le-feu annoncé entre Israël et l’Iran soit fort, cohérent et non fragile.
Il a soutenu que l’Irak n’était pas et ne sera pas dans une position de faiblesse : « nous avons déjà affronté le terrorisme et nous l’avons vaincu, et nous sommes parvenus à éliminer les dangers et à épargner à notre peuple les tragédies de la guerre ».
À cet égard, il a exprimé son rejet de toute action interne ou externe qui porte atteinte à la sécurité de la nation.
Al-Sudani a souligné toutes les positions des forces politiques nationales, des institutions et des présidences constitutionnelles qui ont soutenu les politiques du gouvernement face aux récents événements dans la région.
En ce qui concerne les attaques contre les bases militaires irakiennes, le Premier ministre a ordonné une enquête technique et de renseignement pour déterminer l’ampleur de l’action de drones.
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