Le représentant de l’île à l’ONU Yuri Gala a déclaré sur le réseau social X que «la santé ne peut être une marchandise ni un instrument de chantage politique».
Les mesures coercitives constituent une violation du droit international et des principes qui sous-tendent le multilatéralisme.
L’île a réitéré à maintes reprises son ferme refus de leurs mises en œuvre et exhorte la communauté internationale à continuer d’exiger leurs levées immédiates.
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