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Le gouvernement cubain donne la priorité aux droits des enfants et des jeunes

La Havane, 18 juillet (Prensa Latina) Cuba dispose aujourd’hui d’un Code de l’enfance, de l’adolescence et de la jeunesse qui constitue une expression authentique de la volonté politique du projet social révolutionnaire de protéger et de préserver les droits de ce groupe d’âge.

Ainsi l’ont confirmé les parlementaires de l’île lors de la présentation ce vendredi devant la plénière de l’Assemblée nationale du pouvoir populaire (parlement) qui se réunit en présence du président Miguel Díaz-Canel.
En présentant la norme, le député Arelys Santana Bello, président de la Commission d’Attention à la Jeunesse, à l’Enfance et aux Droits et Égalité des Femmes, a souligné que la protection de ce segment de la population a été une priorité historique de l’État cubain depuis le triomphe de la Révolution.
Le Code, a-t-il assuré, intègre les principes constitutionnels, les engagements internationaux et les demandes formulées dans un vaste processus de consultation avec plus de 800 000 personnes.
Le nouveau texte, a-t-il expliqué, vise à garantir le développement intégral et le respect des droits, en reconnaissant les enfants et les adolescents comme sujets de droits ayant la capacité de participer aux questions qui les concernent.
Selon la députée Mariela Castro Espín, la réglementation reconnaît explicitement le droit à la santé sexuelle et reproductrice des enfants et des adolescents, en rendant l’État responsable de leur éducation, de leur orientation et de la prestation de services dans ce domaine.
Castro Espín a également souligné que le Code traite de manière critique la violence contre les mineurs et la grossesse chez les adolescents, tout en consacrant le droit à une vie sans violence, interdisant toute forme de mauvais traitements, châtiments corporels et traitements humiliants.
Il montre également des progrès sans précédent dans l’interdiction de la chirurgie génitale non consentie, sauf en cas de risques pour la santé ou la vie, a souligné la directrice du Centre national d’éducation sexuelle.
L’instrument juridique adopté après 17 versions protège les enfants, alors que le monde enregistre des chiffres alarmants de décès d’enfants dus aux conflits armés, au travail des enfants et à d’autres calamités, a noté la parlementaire Leydi Maria Labrador.
peo/ro/lld

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