Ainsi l’a annoncé le haut diplomate sur son compte du réseau social Telegram après avoir tenu « une importante réunion » avec le haut fonctionnaire des Nations Unies dans le contexte de la 80ème session de l’Assemblée générale de l’ONU.
Cela signifie que cette action viole la Charte de l’ONU et met en danger la stabilité et la souveraineté de toute la région.
Par cette rencontre « nous réaffirmons la souveraineté et la paix du Venezuela, un pays exempt de cultures illicites et sans incidence sur le trafic international de drogues », a-t-il déclaré.
Le ministre bolivarien des Affaires étrangères a déclaré que le système des Nations Unies « doit inverser son inaction et ne pas permettre une autre agression criminelle contre des peuples innocents », comme le génocide actuel en Palestine.
Il a également affirmé que « cela ne conduirait qu’à continuer de détruire les principes de l’ONU et du multilatéralisme, déjà convalescents aujourd’hui ».
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