Dans un communiqué diffusé dans cette capitale soudanaise, le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric a averti que depuis début octobre, plus de 50 personnes auraient été tuées dans la région d’El Fasher, capitale du Darfour du Nord.
Selon le Réseau des médecins du Soudan, une attaque menée ces dernières heures par un groupe paramilitaire dans la zone de démarcation a causé la mort d’une douzaine de civils, dont des enfants et des femmes.
Les récentes attaques des RSF à Al-Fasher contre des personnes rassemblées dans des mosquées et la maternité d’un hôpital de cette zone, faisant des dizaines de morts et de blessés dans les deux cas, ont été d’ailleurs souligné par l’ONU.
Depuis la mi-avril 2023, le Soudan est plongé dans une guerre interne de pouvoir entre le chef de l’armée, Abdel Fatah al-Burhan, et le leader des Forces paramilitaires d’appui rapide, Mohamed Hamdan Daglo.
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