Le CPT a estimé que la date du 30 août 2026 pour célébrer le premier tour est trop lointaine, c’est pourquoi il a engagé des discussions avec le CEP pour revoir le calendrier avant sa publication officielle dans le journal Le Moniteur, précise le quotidien numérique Haïti Libre.
Pour sa part, le média numérique Le Nouvelliste a rapporté le 17 novembre que le CEP avait fixé une nouvelle date pour la tenue des élections générales, un acte démocratique qu’il a été impossible de matérialiser dans la nation caribéenne le 15 novembre dernier.
Le premier tour des élections législatives et présidentielles est fixé au 30 août 2026, et le second tour aura lieu le 6 décembre.
Le quotidien haïtien attire l’attention sur le fait que la majorité des communes des deux principaux départements du pays (l’Ouest et l’Artibonite), où se concentrent plus de 60 pour cent de l’électorat, sont contrôlées totalement ou partiellement par les gangs qui opèrent dans le pays.
Le Nouvelliste rappelle que les dernières élections en Haïti ont eu lieu en 2015.
Les élections générales en Haïti étaient prévues pour le 15 novembre de l’année en cours, mais la violence accablant le pays depuis 2024 a fait annuler la possibilité d’une consultation populaire.
peo/arc/joe





