Genève,
Lors de son intervention devant le Conseil des Droits de l’Homme (CDH), le mandataire a signalé que la coexistence se trouve menacée par des situations d’injustice et l’individualisme croissant, en plus d’ « une compétition impitoyable pour des biens et des lieux de privilèges ».
« Il est fondamental que tous les pays reconnaissent, soutiennent et participent au CDH pour le rendre plus fort, et ainsi arriver à une coexistence pacifique, juste et solidaire entre tous les habitants du monde », a-t-il affirmé.
Dans son discours, le chef d’État a rappelé les moments amères vécus par l’Uruguay, « certains pas très éloignés dans le temps ». « Nous travaillons pour la vérité et la justice, car dans mon pays il y a eu une dictature (1973-1985) qui a provoqué des morts, des enlèvements et des disparitions », a-t-il précisé.
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