Mexico (PL) Le gouvernement mexicain s’abstiendra de mesures d’exécution pour amortir l’impact de la hausse des prix des carburants d’automobiles, bien que reconnu comme décision «impopulaire».
Il n’y a pas de plans pour établir un stimulus supplémentaire à celles déjà existantes, il convient de noter qu’il existe plusieurs qui se tiennent (…), essentiellement le portefeuille de programmes qui existe déjà et qui se maintient, a affirmé le sous secrétaire des finances, Miguel Messmacher.
L’augmentation du prix de l’essence ne répond pas à des impôts plus élevés, mais les aléas de coûts énergétiques internationaux, le fonctionnaire a fait valoir lors d’une réunion avec la presse.
Il a exclu l’escalade d’inflation tel qu’augure les secteurs productifs et sociaux et il a souligné que des mesures similaires et
l’indice national des prix à la consommation (NCPI) est restée sous contrôle.
Il a insisté pour que l’ajustement enregistré à partir de ce mois, le prix de l’essence au Mexique, (jusqu’à 24 pour cent dans certains cas), en raison de laquelle l’entreprise sera définie de plus en plus en ligne avec les coûts énergétiques internationaux.
Le sous-secrétaire a blâmé le vol croissant de pénuries de carburant provoquées par la fin de 2016, contre laquelle, at-il dit, le déploiement accru de troupes pour protéger les pipelines et autres installations de Petroleos Mexicanos.
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