Washington, 20 jan (PL) Des groupes de manifestants contre Donald Trump ont bloqué plusieurs points de contrôle de sécurité pour empêcher l’accès à l’inauguration du milliardaire en tant que président des États-Unis.
Comme partie de l’action, inclus dans les dizaines de manifestations développés cette semaine, les participants étaient enchaînés ensemble et ont également rejoint les clôtures entourant le National Mall dans cette capitale.
Les membres du mouvement DisruptJ20 ont bloqué plus de 10 points de contrôle de sécurité et ont utilisé cette opportunité comme occasion de faire connaître des questions telles que le changement climatique, le féminisme et la justice raciale selon le portail The Hill.
Les journaux locaux ont rapporté que d’autres groupes comme Black Matter Lives ont également essayé de fermer les entrées de la cérémonie d’inauguration, tandis que les militants situés à proximité du Capitole poussaient des cris de «Palestine Libre’.
Pendant que le président élu et les membres de sa famille arrivaient ce matin, l’Eglise épiscopale de San Juan, située à proximité de Blair House, plusieurs organisations qui le critiquent ont créé des barricades qui ont été plus tard enlevées par la police.
En outre, pour midi est prévu un DisruptJ20 de mars à partir de Columbus Circle et se dirige vers à McPherson Square, où des manifestants trouveront un mouvement de mobilisation des événements Occupy.
Tels événements qui sont également prévues pour le week-end, font partie des manifestations appelées contre le nouveau président dans 50 États et dans d’autres pays comme le Mexique, France, Royaume-Uni, en Australie et au Kenya.
Le milliardaire se rends à la présidence comme l’un des dignitaires les plus impopulaires de l’histoire américaine, comme l’a révélé par un récent sondage réalisé par le Washington Post et ABC News.
Selon l’enquête, seulement 40 pour cent des citoyens approuve comment le magnat de l’immobilier a conduit le processus de transition du pouvoir au cours des dernières semaines, en baisse de 80 pour cent qui ont reçu le soutien démocrate Barack Obama à prendre son premier mandat au pays.
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