Asuncion,
Selon Mirian Meza, département des affaires familiales de la police nationale, la conscience pour dénoncer ces situations aussi augmente.
Seulement dans les bureaux organisés par le département de la police on reçoit au moins huit accusations quotidiennement d’agression sexuelle sur des mineurs et 35 pour violence vers les femmes, selon le responsable.
Cette unité de la Police nationale est chargé de porter les cas de violence chez les enfants et les adolescents en raison de l’agression psychologique, physique et sexuelle, en plus de la violence domestique, mais d’autres se sont présentés dans les postes de police normales.
La Commission permanente du Congrès sur le sujet a réuni des représentants de divers organes de l’Etat, y compris la police, pour plus de détails sur les chiffres alarmants d’abus sexuels de mineurs signalés dans la presse.
En plus d’autres institutions, le Secrétariat pour les enfants et les adolescents doit soumettre un rapport à ce sujet, afin d’établir des mécanismes pour une plus grande sécurité pour ce secteur de la population.
Rm/lma/jf