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prêts aujourd’hui à exporter, et estime que la surpêche de cette espèce marine les met en danger d’extinction.
Selon les plaignants, les nageoires de requin-marteau -très prisés sur le marché Asie- appartiennent au secteur de la pêche nationale, qui est en attente d’une décision sur un recours contre l’interdiction de l’exportation de ce produit, datant de représentants d’organisations environnementales de 2015.
Les représentants des organisations écologistes disent qu’environ huit mille exemplaires de cette espèce ont été tués depuis lors jusqu’à présent.
Telle dénonciation est arrivé dans le passé et les autorités politiques considérées qui étaient motivées par la nécessité de ces entités pour obtenir les ressources finacières.
Le directeur du Système national des aires de conservation (Sinac), Mario Coto, a confirmé l’existence des nageoires de requin stocké, et non la quantité, parce que ce n’est pas la responsabilité de son organisation.
Il a dit que le 22 on saura la décision du Comité, qui pourrait être négatif ou positif conditionné .Le Sinac, comme une autorité administrative, doit respecter l’opinion et d’émettre une résolution sur elle.
Rm/ocs/ale