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Le Ministre de Gouvernement et chancelier par intérim, Carlos Romero, a indiqué à la presse que la Bolivie se réserve le droit de faire usage d’actions légales ; « nous avons toute la protection juridique et le soutien pour le faire, mais nous préférons d’abord avoir épuisé la voie diplomatique ».
Selon Romero, l’exécutif a chaleureusement accueilli la prédisposition du diplomate français pour que ne soit pas ternie l’image de la nation andine dans ce type de jeux vidéo.
Il a de plus précisé que, même si le programme créé par la compagnie privée française ne mentionne pas de forme directe la Bolivie, il y apparaît des zones géographiques et des symboles nationaux.
Romero a rajouté que le jeu vidéo remet en question la lutte contre le narcotrafic que mène à bien le Gouvernement.
Le haut fonctionnaire a expliqué qu’ « il serait très paradoxal qu’une entreprise française met en doute nos actions à ce sujet, puisque nous combattons ce fléau avec la technologie de ce pays européen ».
Il a rajouté que les résultats de la Bolivie sur ce chantier sont reconnus par la communauté internationale et certifiés par des organismes tels l’Organisation des Nations Unies et l’Union Européenne.
Récemment, est apparu sur les réseaux sociaux un aperçu du jeu vidéo intitulé Tom Clancy’s Ghost Recon : Wildlands, qui sera présenté dans les prochains jours.
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