Washington
Il est question d’un élargissement des contrôles de drogues qui sera effectif à partir du 3 avril. Celui entend enquêter sur le possible usage de tous les produits inclus dans les questionnaires des membres actifs de l’armée des États-Unis doivent remplir, a expliqué le colonel Tom Martin, responsable des contrôles.
Ces nouvelles dispositions sont due à l’usage inapproprié des médicaments de la part des civils et à la croissante consommation d’héroïne et de drogues de synthèse dans la société.
Les candidats seront donc contraints de se soumettre à des test de dépistage de marihuana, cocaïne et amphétamines. Ensuite, ils feront l’objet de test de dépistage d’héroïne, de codéine, de morphine, d’hydrocodone, d’oxycodone, d’hydromorphone, d’oxymorphone et d’une série de cannabinoïdes de synthèse et sédatifs de benzodiazépines.
Les nouveaux engagés subiront les mêmes contrôles que les militaires actuels, eux, qui sont soumis à des test antidopage au hasard même trois fois dans l’année.
D’après le colonel Martin, des 279. 400 personnes souhaitant s’engager dans l’armée des États-Unis, 2. 400 sont dépistées positives à la consommation de drogues.
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