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Des villes des États-Unies menacées pour protéger des immigrés

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Washington (PL) Le gouvernement des États-Unis a menacé de conserver des fonds destinés aux dénommées « villes refuge », communes qui limitent leur collaboration avec les autorités fédérales pour protéger les immigrés sans-papiers.

Lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche, le procureur général étasunien, Jeff Sessions, a appelé ces territoire à changer d’attitude le plus rapidement possible.

Le Secrétaire de la Justice a affirmé que « lorsque les villes et les États refusent de nous aider à faire respecter les lois, notre pays est moins en sécurité, et ces politiques ne peuvent continuer ».

Sessions a souligné qu’avec de telles positions les « villes refuge » sont moins sûres et courent le risque de ne pas recevoir les ressources fédérales.

Il a précisé que les localités intéressées par les subventions du Département de la Justice devront prouver qu’elles respectent les lois gouvernementales et poursuivent les immigrés auteurs de crimes ou en situation irrégulière.

Les subventions permettent entre autres de financer l’entrainement de la police ainsi que d’acquérir de nouveaux moyens techniques pour cette force.

Quelques jours après sa prise de fonction comme président le 20 janvier, Donald Trump a signé un ordre exécutif pour donner un nouveau souffle aux programmes de coopération entre les forces de l’ordre et les autorités migratoires.

La disposition a également eu pour objectif d’interrompre le versement de certains fonds à ces « villes refuge », qui sont prés de 200 dans tout le pays, selon des informations de journalistes.

ocs/dsa

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