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L’ex-président du panama comparait devant un juge fédéral aux États-Unis

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Washington, Panama, 13 juin (PL) L’ex-président du Panama, Ricardo Martinelli, a aujourd’hui comparu devant le juge fédéral Edwin G. Torres dans la ville étasunienne de Miami, en Floride, dans laquelle il a été détenu la veille.

Martinelli est requis dans son pays, qui a demandé l’extradition, pour répondre aux accusations d’écoutes illégales de membres de l’opposition durant son mandat (2009-2014), ainsi qu’à d’autres charges.

Selon des dossiers de presse, Torres n’a pas accordé la liberté sous  caution à l’ancien chef d’État. Il séjournera donc en prison jusqu’à la prochaine audience dans une semaine.

Le procureur adjoint Adam S. Fels, représentant l’État du Panama, a exposé les antécédents du cas et a détaillé les faits pour lesquels la remise du détenu est demandé par cette nation.

Martinelli a abandonné le Panama le 28 janvier 2015, le même jour où la Cour Suprême de Justice (CSJ) a décidé d’ouvrir une enquête pour le cas des écoutes illégales.

Il s’est ensuite auto-exilé aux États-Unis avec un statu qu’il gardait en tant que investisseur dans ce pays. Le Panama a fait une demande d’extradition afin qu’il réponde dans ce pays pour l’un des 12 dossiers qui sont ouverts contre lui, mais il ne s’est pas présenté devant la Cour Suprême de Justice (CSJ).

Les autres cas dans lesquels Martinelli est impliqué correspondent à des faits de corruption, et le plus récent concerne des amnisties illégales signées à la fin de son mandat.

En mai dernier, Interpol a diffusé une alerte rouge pour sa poursuite et sa capture, mais ce n’est que maintenant qu’a lieu sa détention, lorsque les États-Unis lui ont nié l’asile politique.

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