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Les États-Unis, la France et le Royaume-Uni refusent l’interdiction des armes nucléaires

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Nations-Unies, 7 juillet (PL) Les missions permanentes à l'ONU des États-Unis, de la France et du Royaume-Uni ont rejeté le traité adopté dans le but d'interdire les armes nucléaires.

Par Waldo Mendiluza

Nations-Unies, 7 juillet (PL) Les missions permanentes à l’ONU des États-Unis, de la France et du Royaume-Uni ont rejeté le traité adopté dans le but d’interdire les armes nucléaires.

Lors d’une déclaration conjointe, ils ont rappelé le fait qu’ils n’ont pas participé au processus de négociation qui a amené à l’adoption de l’instrument multilatéral, lors d’un vote où 122 pays ont soutenu le document, la Hollande (seul pays membre de l’OTAN présent) l’a rejeté et Singapour s’est abstenu.

« Nous ne pensons ni le signer, ni le ratifier, ou faire partie de ce texte. Par conséquent nous ne reconnaissons aucune obligation légale, ni n’acceptons que ce traité soit considéré comme une loi internationale », ont-ils avertis.

Washington, Paris et Londres ont également invoqué le fait que tous les États possédant des armes nucléaires, et la quasi totalité de ceux qui défendent la doctrine de la dissuasion nucléaire, ne sont pas intervenus dans les négociations inscrites dans le cadre d’une conférence en session depuis le 15 juin.

Selon les trois puissances détentrices de ces dispositifs, le traité ignore la réalité actuelle et le besoin de sécurité sur la scène internationale. Ils ont également estimé qu’il n’offrait aucune solution face à la grave menace que représente le programme nucléaire nord-coréen.

Cependant l’accord reflète la préoccupation de la communauté internationale. C’est dans ce sens qu’il interdit le développement des armes nucléaires, leur essai, leur production, leur conservation, la menace de leur usage, et donc leur nécessaire et indispensable destruction.

Pour sa part, la directrice de la Campagne Internationale pour Interdire les Armes Nucléaires, Béatrice Fihn, a précisé que cette organisation « va engager un processus de dialogue avec toutes les nations, dans le but de garantir sa signature en septembre, et ensuite son entrée en vigueur », pour laquelle il est exigé que 50 pays ratifient ce traité.

Peo/mem/wmr/jcm/wmr

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