Rabat,
Selon des déclaration du porte-parole chiite Issam Hassanial au site Yabiladi.com, le texte de cette tendance islamique dont la foi est interdite par l´exécutif, ce qui oblige ses pratiquants à la professer de manière extra-officielle, accuse les autorité de discrimination.
Risalis progressistes, unique organisation chiite du Maroc, affirme que le document de 140 pages contient des preuves de l´imposition officielle par le pouvoir d´un « embargo et d’une interdiction arbitraire qui portent atteinte à leurs droits civils et religieux ».
Le 18 juillet dernier, un tribunal de la région de Fez a condamné le président de cette entité religieuse, Abdou Chougrani, à un an de prison pour des accusations de détournement de fonds et falsification de documents. Le leader religieux a attribué à ce procès des raisons politiques et confessionnelles, puis a estimé qu´il violait nombre de ses droits.
peo/oda/apb