Pyongyang,
Les autorités de ce pays ont rappelé que le 16 août dernier, le vice-président Mike Pence, qui a notamment visité le Chili, a obligé plusieurs pays à « rompre les liens diplomatiques avec la Corée du Nord » et à évoqué une « pression économique et diplomatique ».
Pyongyang a jugé qu’il « est lamentable que les hauts fonctionnaires de l’administration Trump lâchent de telles absurdités, sans tenir compte de l’inquiétude de ses habitants ».
La Corée Démocratique a insisté sur le fait qu’il serait bon pour les États-Unis de s’occuper de son propre destin, avant d’avoir recours à l’inutile campagne de pression et d’affrontement à l’encontre de la RPDC ».
Le gouvernement nord-coréen a en ce sens souligné que « ne courent plus les temps où Washington agissait à son gré, sans mesurer les conséquences de ses actions, et profitait de la peur généralisée qu’ils (les États-Unis) imprimaient en tant que puissance impérialiste ».
La RPDC a signalé qu’il y a « maintenant des moyens de réponse ; c’est pourquoi nous continuons le développement de nos pouvoirs militaires, dont en particulier celui du missile balistique intercontinental ».
Il est est également précisé dans les déclarations de la RPDC que « la préoccupation centrale de Washington devrait être l’inquiétude de la population étasunienne quant au coût des provocations contre Pyongyang, et non d’analyser comment anéantir un pays qui a choisi son destin, sous un principe absolu de souveraineté et d’indépendance ».
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