Bagdad,
Selon lui, cette consultation n’a pas l’accord du gouvernement central, et ne peut donc pas être valable.
Le chef de gouvernement a également condamné la vente illégale de pétrole irakien extrait dans la province de Kirkuk, laquelle se trouve maintenant sous contrôle kurde.
« J’appelle les leaders kurdes à venir à Bagdad et à dialoguer », a-t-il indiqué.
L’Iran, la Turquie et la Ligue Arabe, entre autres, s’opposent à la tenue de ce référendum car ils considèrent qu’un résultat favorable provoquera des déséquilibres dans la région et une renaissance du terrorisme.
Les kurdes résident en Irak, Turquie, Iran et Syrie mais c’est seulement sur le territoire irakien qu’ils ont réussi à établir une république autonome avec sa capitale à Erbil.
Selon les opposants au référendum, une nation souveraine du Kurdistan encouragera les kurdes résidents dans d’autres États à obtenir les mêmes droits, et éventuellement à prendre les armes dans cet objectif.
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