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La Russie met en garde les États-Unis sur la suspension de l’accord en Syrie

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Moscou, 11 octobre (Prensa Latina) Le Ministère de la Défense russe (Mindef) a aujourd’hui prévenu les États-Unis de la possibilité de suspendre l’accord de coopération pour éviter des incidents de combat en Syrie.

Le porte-parole du Mindef, le Major-Général Igor Konashenkov, a indiqué que « les actions étasuniennes sont plutôt destinées à saboter le processus de paix au pays du Levant ».

« Du 2 au 3 de ce mois d’octobre, près de 600 membres de groupes armés se sont déplacés de manière organisée depuis le camp de réfugiés de Rukban, sous contrôle des troupes nord-américaines, dans la région d’Et-Tanf, vers la zone démilitarisée créée dans la province du sud de Deraa », a-t-il souligné.

Le général russe a précisé que « ces hommes armés ont traversé près de 300 kilomètres et sont arrivés là-bas par l’ancien pont douanier de Tafas, à la frontière syrio-jordanienne ».

Konashenkov a fait référence à l’étrange coïncidence du fait que « parallèlement au mouvement de ces hommes armés, une colonne de médicaments et de vivres a été envoyé dans cette zone, prétendument pour la population civile ».

Le porte-parole a dénoncé le fait que « toute l’aide humanitaire qui est arrivée sur place, en particulier les médicaments, est aux mains de ceux qui sont partis d’Et-Tanf ». Il a ensuite précisé qu’il considère cette zone comme un lieu dans lequel se trouvent des cellules dormantes du groupe terroriste Jabhat An Nusra.

« Il est de plus en plus clair que les États-Unis chercheront à saboter le processus de paix dans la zone démilitarisée créée dans le sud syrien », a-t-il jugé.

La Russie, la Turquie et l’Iran se présentent comme les interlocuteurs des conversations entre les chefs de groupes armés et les représentants du gouvernement syrien qui se tiennent à Astana, et lors desquelles ils ont proposé et coordonné la formation de quatre zones démilitarisée en soutien à la trêve en Syrie.

Depuis l’entrée de l’aviation russe dans le conflit syrien en 2015, à la demande de Damas, et après près d’un an de prétendues actions d’avions d’une coalition contre les terroristes, il existait le danger d’incidents entre Moscou et Washington dans ce pays.

Raison pour laquelle, en octobre de cette année-là, le Mindef et le Pentagonne ont convenu de dispositifs de communication directs pour coordonner les actions et les positions de leurs forces respectives dans le but d’éviter des accidents militaires sur le terrain.

peo/rc/to

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