Téhéran,
En visite dans le pays dans le but de vérifier, pour la neuvième fois, ce qui est stipulé dans ce pacte, Amano a confirmé ce critère positif devant le président iranien, Hasan Rohani, le chancelier Mohamad Yavad Zarif et le chef de l´Organisation d´Énergie Atomique d´Iran, Ali Akbar Salehi.
Rohani a souligné le fait que « l´Iran respectera l´accord tant que les bénéfices pour le pays perse sont pris en compte ».
Le représentant international de l´AIEA a clairement montré son intérêt à jouer un rôle plus important en ce qui concerne le Plan Intégral d´Action Conjointe, ou pacte nucléaire, et surtout compte tenu des dernières déclarations du président nord-américain, Donald Trump, à ce sujet.
Trump a, entre autres, sollicité des inspections de centres militaires iraniens par l´AIEA qui ne sont pas comprises dans ce qui a été convenu par Téhéran et le G 5+1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Russie, Chine et l´Allemagne).
Les autorités perses ont refusé ce type d´inspection, tout en facilitant le travail des experts de l´agence internationale pour qu´ils vérifient ce qui est stipulé dans le pacte.
L´un des chapitres de l´accord nucléaire stipule que l´Iran ne peut enrichir l´uranium de plus de 3,67 pour cent, et que les excédents de ce matériel doivent être livrés à la Russie.
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