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La Place du 15 novembre, dans la commune de Villarroel, est dédiée aux paysans Claudio Quiroga, Abel Orozco et Máximo Rojas, assassinés le 15 novembre 2001 dans le contexte d´une politique répressive de « zéro coca » imposée par les États-Unis.
Lors de son discours, le mandataire a affirmé que le sacrifice des hommes tombés n´a pas été vain puisqu´a récemment été adoptée une loi qui protège la culture de la feuille de coca dans la région.
La législation considère cette plante comme un patrimoine culturel, originaire et ancestral, et prévoit 22 mille hectares pour sa culture à but médicinal et alimentaire ainsi que pour être mastiquée.
« Notre organisation a été tellement importante, tout comme notre lutte pour défendre l´identité, la souveraineté et la dignité », a-t-il souligné.
Le président a rappelé les avancées de la Bolivie durant la dernière décennie, qui est passé « d´un État mendiant à un État digne », a-t-il affirmé.
Evo Morales a également commenté les récentes mobilisations à La Paz, Cochabamba et Sucre pour défendre la révolution et la continuité du processus de changement.
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