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Le président du Zimbabwe décrète un délai pour rapatrier de l´argent illégalement transféré

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Pretoria, 28 novembre (Prensa Latina) Le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, a aujourd´hui donné un délai de trois mois pour que les individus ou les sociétés qui ont sorti de l´argent et des actifs les rapatrient.

Une information diffusée par le quotidien zimbabwéen The Herald précise que du 1er décembre au 28 février ces personnes devront rapatrier ces capitaux et souligne que personne ne sera arrêté ou jugé pour ces actions illégales.

Le mandataire, qui a prêté serment en tant que nouveau chef d´État vendredi dernier, a précisé que « l´Opération au Secours de la Légalité, laquelle a permis de dénoncer les mauvaises conduites au sein du gouvernement de l´ancien président Mugabe, a aidé à découvrir des cas de transferts illicites à l´étranger de grandes sommes d´argents et d´actifs ».

Le journal a également fait part du fait que le Parlement a aujourd´hui démis cinq députés de leurs fonctions, suite à un communiqué du parti au pouvoir, l´Union Africaine du Zimbabwe-Front patriotique (Zanu-PF), qui explique que les législateurs en question ne représentent plus les intérêts de cette organisation gouvernementale.

Les personnes exclues du parlement sont Ignatious Chombo, ex-ministre des Finances; Saviour Kasukuwere, ex-ministre des Gouvernements Locaux, du Développement Rural et du Logement; le professeur Jonathan Moyo, ex-ministre de l´Éducation Supérieure; Kudzanayi Chipanga, ex-secrétaire de la Jeunesse du Zanu-PF, et Mandiitawepi Chimene, qui occupait le poste de ministre de la province de Manicaland.

Mabel Chinomona, vice-présidente de l´Assemblée Nationale du Zimbabwe a informé que « ce processus est légal et que le parlement compte maintenant cinq sièges vacants ».

peo/rc/ir

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