Madrid,
Lors de son premier recours contre la mise en examen émise le 23 mars dernier par le Tribunal Suprême (TS), Puigdemont, par le biais de son avocat, a assuré qu´il n´y a eu « aucun type de violence » qui justifie cette accusation, laquelle peut être punie par 30 ans de prison.
La défense a signalé que par l´accusation de violence « on ne peut pas prendre en compte des manifestations, aussi nombreuses soient-elles, ni les actions condamnables et isolées de ceux qui ont provoqué des dommages ».
Elle a également rappelé que dans le Code Pénal espagnol, le délit de rébellion comporte la notion de « soulèvement violent ».
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