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L´ex-président catalan nie l´existence de violence lors du processus sécessionniste

Madrid, 2 avril (Prensa Latina) Des médias ont aujourd´hui informé que l´ex-président de Catalogne, Carles Puigdemont, a nié l´existence de violence lors de la tentative de sécession de la région, principal argument avancé par la justice espagnol pour l´accuser de rébellion.

Lors de son premier recours contre la mise en examen émise le 23 mars dernier par le Tribunal Suprême (TS), Puigdemont, par le biais de son avocat, a assuré qu´il n´y a eu « aucun type de violence » qui justifie cette accusation, laquelle peut être punie par 30 ans de prison.

La défense a signalé que par l´accusation de violence « on ne peut pas prendre en compte des manifestations, aussi nombreuses soient-elles, ni les actions condamnables et isolées de ceux qui ont provoqué des dommages ».

Elle a également rappelé que dans le Code Pénal espagnol, le délit de rébellion comporte la notion de « soulèvement violent ».

peo/lma/edu

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