Caracas,
Sur son compte du réseau social Twitter, le ministre des Relations Extérieures a affirmé que les déclarations de Macron ont coïncidé avec une visite de représentants de l´extrême-droite vénézuélienne et représentent une violation du droit international.
« Président Emmanuel Macron, le 20 mai prochain des millions de vénézuéliens éliront démocratiquement le Président de la République, par le biais du système électoral le plus transparent et le plus sûr du monde. Nous exigeons le respect des affaires internes du Venezuela », a-t-il écrit.
Il a critiqué le mandataire français pour ce qu´il a considéré comme une attitude de subordination à la politique guerrière des États-Unis contre un pays souverain comme l´est le Venezuela.
« Président Emmanuel Macron, un président de la France ne doit pas être subordonné aux intentions guerrière de Donald Trump, et encore moins obéir à ses ordres en agressant systématiquement un pays ami et indépendant comme le Venezuela, la patrie de (Simon) Bolivar et (Francisco) Miranda », a-t-il twitté sur le réseau social.
Arreaza a également dénoncé les menaces d´accroitre les sanctions contre son pays proférées par le chancelier français, Jean-Yves Le Drian, suite à une réunion avec son homologue argentin Jorge Faurie.
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