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Evo a critiqué de manière posée et réfléchie le projet capitaliste, les inégalités, l’impérialisme et sa logique de guerre, le militarisme qui sous-tend le capitalisme dans sa phase actuelle, puis a condamné très fermement la politique menée par les États-Unis dans le monde entier. L’explication a été forte et sans aucune ambigüité, comme l’ont rapporté les média locaux.
L’ambassadeur de Bolivie a également souligné le leadership du chef d’État, dont la stature est reconnue au niveau international.
Le président Evo a été acclamé au Sommet des Peuples de Lima, au Pérou, où il a reçu l’appui latino-américain à la demande maritime présentée contre le Chili devant la Cour Internationale de La Haye, a rappelé l’ambassadeur.
Rodríguez a également souligné l’importance de l’entretien qui a eu lieu entre Morales et son homologue du Pérou, Martín Vizcarra, entretien dont le résultat a été un rapprochement entre les deux pays qui se réuniront en un cabinet binational en septembre prochain dans la ville bolivienne de Cobija.
Evo Morales, en fin de semaine dernière, a participé au VIIIème Sommet des Amériques de Lima, espace dans lequel il a également discuté des problèmes que pose la corruption aux Gouvernements démocratiques.
Lors de son intervention à ce forum, Morales a mis en garde contre la politique interventionniste des États-Unis qui peut aboutir à une « terrible » confrontation nucléaire et il a dénoncé la persécution dont sont victimes les dirigeants progressistes de la région.
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