Lima,
Une délégation de ce groupe, minoritaire au sein de l’Organisation des Etats Américains (OEA), a lancé cette menace dans un communiqué rédigé à la suite d’une réunion de ses ministres des Finances et Affaires Etrangères.
Il y est aussi déclaré que les participants « identifieront une série d’actions qui pourraient être prises de manière collective ou individuelle après le 20 mai » dans les domaines économique ou financier, par exemple.
A cette réunion ont également participé l’Espagne et, par vidéo-conférence, le secrétaire d’Etat nord-américain, Mike Pompeo, ainsi que d’autres fonctionnaires de Washington.
Le document persiste à qualifier les élections vénézuéliennes de « processus électoral illégitime et manquant de crédibilité »
et demande leur suspension. Et, parmi tant d’autres assertions, il refuse toute légitimité au gouvernement actuel du Vénézuéla.
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