Port-au-Prince,
Céant, déjà candidat à la présidence en 2016 et leader du parti Renmen Ayiti, se présente comme une option unitaire et capable de dialoguer avec les divers secteurs du pays au milieu de la crise socio-économique dans la quelle est plongé Haïti.
Selon un autre des aspirants au poste de premier ministre, Edgar Leblanc, coordonateur général de l’Organisation du Peuple en Lutte, le parti qu’il représente est prêt à discuter avec le nouveau chef du Gouvernement afin de mettre sur pied un dialogue national qui permettra de changer le mode actuel de gouvernement.
De son côté, le président du Sénat, Joseph Lambert a fait savoir sur son compte Twitter que, maintenant que le nouveau premier ministre est élu, le parlement est prêt à reprendre son rôle constitutionnel.
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