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Le président de l’Institut Cubain pour l’Amitié entre les Peuples met en garde contre la propagation du terrorisme

Par Livia RodríguezDelis

La Havane, 5 octobre (Prensa Latina)Fernando Gonzalez, président de l’Institut Cubain pour l’Amitié entre les Peuples et député à l’Assemblée Nationale du Pouvoir Populaire, a aujourd’hui mis en garde contre la propagation d’actes terroristes semblables à l’attentat de l’avion cubain près des côtes de la Barbade, il y a 42 ans.

Il a affirmé à Prensa Latina que cet acte de terrorisme, qui eut lieu le 6 octobre 1976, prouve que le Gouvernement des États-Unis utilise deux poids et deux mesures quand il s’agit de terrorisme.

Les parents des 73 victimes de cet acte terroriste, nous a-t-il assuré, vivent toujours dans l’ombre de cette injustice, car Orlando Bosch et Luis Posada Carriles, les commanditaires de cet acte, ont fini leurs jours paisiblement aux États-Unis sans jamais répondre de leurs crimes.

Aujourd’hui, en cette date anniversaire, il faudrait non seulement rendre hommage aux personnes décédées, mais aussi saisir cette opportunité pour alerter le monde contre la propagation de ce type d’action que l’on voit se répéter et parfois apparaître dans des pays où ils étaient jusqu’à maintenant inconnus.

Gonzalez estime qu’après les attentats du 11 septembre 2001 contre les Tours Jumelles  de la ville de New-York, le Gouvernement des États-Unis a gâché une grande occasion pour s’unir aux efforts des autres pays dans leur lutte contre le terrorisme.

Cet événement a engendré un sentiment profond de solidarité avec le peuple nord-américain dans le monde entier et les autorités du pays auraient pu chercher des mécanismes de coopération à travers l’organisation des Nations Unies et d´autres instances internationales pour assécher le financement des organisations terroristes  et les combattre de manière multilatérale.

Au lieu de quoi, Washington a déclenché une campagne de vengeance dont le résultat a été la multiplication des organisations utilisant ce type d’action criminelle pour obtenir ce qu’elles désirent.

En fin de compte, ces actes de terrorisme font le jeu de l’impérialisme, a souligné avec force Fernando Gonzalez.

peo/mgt/lrd

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