Kampala,
Cette expérience portera sur un échantillon de 200 femmes âgées de 18 à 45 ans et qui se seront portées volontaires. Elle se déroulera dans sept pays d’Afrique: le Kenya, le Malawi, le Botswana, le Zimbabwe, l’Afrique du Sud et le Swaziland. L’hypothèse d’étude est que ce vaccin injectable, baptisé le HPTN084, empêchera ces femmes d’être contaminées par cette maladie mortelle qui cause des ravages dans le monde entier et, en particulier, en Afrique.
Le but de l’expérience est de prouver que ce médicament, inoculé tous les huit jours, protègera de l’infection les femmes considérées comme faisant partie des populations à risque dans ces pays, et très spécialement dans les populations de pêcheurs. En Afrique du Sud, en plus des populations de pêcheurs, la population masculine homosexuelle fait également partie de ces populations à risque.
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