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Rejet de la présence militaire des États-Unis en Irak

Bagdad, 26 février (Prensa Latina) L´ancien premier ministre d´Irak, Nuri al-Maliki, a assuré que son pays ne nécessite ni présence ni assistance de troupes étasuniennes pour défendre la nation, rapporte aujourd´hui le site internet libanais Al Ahd.

« Nous nous suffisons à nous même pour cette tâche », a-t-il précisé.

Un projet de loi destiné à mettre fin à la permanence de forces militaires étrangères sur le territoire national est en ce moment dans les mains du Parlement.

Près de cinq mille soldats étasuniens sont actuellement toujours présents en Irak, sous le prétexte de combattre le terrorisme, même si des rapports concernant l´intérêt du Pentagone de maintenir des troupes aux abords de la frontière syrio-iakienne sont maintenant connus.

Ce détachement serait en condition, selon la perception des commandements nord-américains, de pénétrer en territoire syrien pour des missions spéciales.

Al-Maliki a condamné l´assistance militaire de Washington, et a rappelé les refus des autorités étasuniennes de fournir l´équipement pour bombarder des positions de terroristes dans la province irakienne d´Al-Anbar. Puis que, lors du mandat de Barack Obama, le gouvernement nord-américain s´était également nié à fournir des armes à l´Irak pour combattre les radicaux.

La présence militaire étasunienne en Irak fait l´objet de critiques et condamnations de plusieurs groupes politiques qui responsabilisent Washington d´avoir créé des insurgés et des extrémistes, puis d´avoir plongé le pays dans le chaos suite à l´invasion et l´occupation de 2003.

peo/tgj/arc

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