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La Bolivie juge inadmissible l’ingérence dans ses affaires intérieures

La Paz, 12 mars (Prensa Latina) Le président du Sénat bolivien, Andrónico Rodriguez, a qualifié aujourd’hui d’inadmissible que certains gouvernements s’immiscent dans les décisions et la situation politique et économique du pays.

Rodriguez a rejeté cette situation d’ingérence sous tous les angles et s’est félicité que la souveraineté de l’État ait été proclamée dès l’investiture de l’ancien président Evo Morales en 2006.

Le législateur a déploré que l’ancienne présidente de facto Jeanine Áñez ait laissé libre cours à l’ingérence d’autres gouvernements, ce qui est maintenant évident, selon une note du site du Sénat.

Les déclarations du chef de la Chambre basse font suite à une publication d’un journaliste britannique qui indique que l’ambassade du Royaume-Uni en Bolivie s’est rapidement mobilisée pour collaborer avec Áñez et que l’intérêt de ce pays en Bolivie aurait été le lithium.

Rodriguez a souligné qu´outre le Royaume-Uni, et de manière encore plus évidente, les Etats-Unis et d’autres gouvernements d’extrême droite se sont ouvertement impliqués dans de nombreux sujets concernant la Bolivie.

‘Nous avons y compris vu que monsieur (Erick) Foronda, qui a travaillé avec Áñez, se déplaçait au nom des États-Unis et, bien sûr, cela a créé des espaces pour décider des questions économiques comme le prêt du FMI’, a déclaré le législateur.

Il a également avancé que la Chancellerie prend note de ce cas, ‘mais mérite une information fiable et réelle au sujet de ces pays (pour savoir) ce qu’ils prétendent ou font actuellement’, indique le site du Sénat bolivien.

peo/agp/dla

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