La Havane, 4 mai (Prensa Latina) Des documents publiés hier révèlent comment la jeunesse cubaine est au centre des projets visant à encourager la subversion dans le pays, qui se cachent sous différentes façades.
L’Initiative Cubaine pour l’Innovation Sociale et Culturelle (InCuba) est l’un d’entre eux, et est censé soutenir les initiatives innovatrices avec un impact social et culturel de Cubains âgés de 18 à 35 ans.
Selon le matériel diffusé sur www.canalcaribe.icrt.cu, les 15 ppersonnes sélectionnées recevraient des bourses pour leur formation en Colombie aux outils de gestion de projets, de communication et de suivi, entre autres.
Mais également le soutien de professionnels et des échanges d’expériences, ainsi qu’un aapport financier pour la mise en œuvre de leur projet.
Le programme était conçu pour une phase de préparation entre avril et juillet 2019, puis pour passer à une phase de mise en œuvre de ce qui avait été appris entre août 2019 et août 2020, ce qui nécessitait des rapports trimestriels de gestion et de suivi, ainsi que des réunions avec les mentors.
Quel type d’initiatives avait intérêt InCuba à promouvoir? La création de médias numériques : magazines, blogs et pages; l’expansion territoriale d’une organisation sociale ou culturelle; et les recherches et publications, œuvres culturelles, expositions et audiovisuelles sur les préoccupations de la société.
Le résultat des travaux d´InCuba est le projet « Le parc horizontal », coordonné par Anamely Ramos, figure liée à la contre-révolution dans la nation caribéenne et qui incite actuellement sur les réseaux sociaux à la désobéissance civile.
Ramos a été associée à d’autres programmes subversifs de l’organisation Culture démocratique, sous-traitante de la National Fondation Nationale pour la Démocratie (NED, pour ses sigles en anglais) des États-Unis.
En outre, elle a été l’une des protagonistes de la fausse grève de la faim qui a eu lieu en novembre dernier dans le quartier havanais de San Isidro.
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