Paris, 6 juillet (Prensa Latina) Le réseaux Europa por Cuba (L’Europe pour Cuba) a rejeté aujourd’hui les accusations du gouvernement nord-américain contre l’île dans son rapport unilatéral sur la traite des êtres humains, les considérant comme un nouvel instrument d’agression.
Nous condamnons ces contrevérités, contenues dans le document présenté le 1er juillet par le secrétaire d’État Antony Blinken, un rapport qui, outre qu’il est dépourvu d’autorité internationale et morale, répond à des intentions calomnieuses, a souligné la plate-forme de solidarité avec Cuba et sa Révolution, initiative lancée en octobre de l’année dernière.
Le réseau, qui a également une chaîne YouTube du même nom, a placé les nouvelles accusations contre le pays caribéen dans le même objectif de chantage politique que son inscription sur la liste des nations parrainant le terrorisme, décision annoncée en janvier dernier par le président nord-américain de l’époque, Donald Trump, seulement quelques jours avant de quitter la Maison Blanche.
Washington a estimé que Cuba ne respectait pas suffisamment les normes minimales pour l’élimination de la traite des êtres humains et ne faisait aucun effort significatif à cette fin, un critère unilatéral que la plus grande des Antilles a qualifiée de nouveau mensonge et de tentative de discréditer sa coopération médicale avec d’autres peuples et reconnue au niveau mondial.
Selon Europa por Cuba, le gouvernement états-unien accroît son déshonneur en prétendant dissimuler par de nouveaux gadgets politiques l’asphyxie économique qu’il maintient sur l’île depuis plus de 60 ans avec son blocus économique, commercial et financier.
La plate-forme de solidarité a également condamné le refus d’octroyer des visas à l’équipe cubaine de football pour qu’elle participe à la Copa de Oro, tournoi se déroulant aux États-Unis.
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