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La France constate que « la capitulation ne fait pas partie du vocabulaire de Cuba »

Paris, 16 novembre  (Prensa Latina) La capitulation n’est pas un mot dans le vocabulaire de Cuba, un pays où la mobilisation populaire se poursuit du côté de la Révolution, a déclaré aujourd’hui le journaliste français José Fort.

Concernant la situation de Cuba et l’échec de la nouvelle croisade étasunienne visant à imposer un changement de régime au pays des Caraïbes  après l’échec des appels lundi à des manifestations antigouvernementales, l’ancien correspondant à La Havane du quotidien L’Humanité a déclaré que cette journée avait fait montre de la force de la Révolution et son pouvoir d’exhortation.

« L’histoire ancienne et récente montre que le rempart contre l’impérialisme dépend irrémédiablement de la mobilisation populaire et de l’organisation de la riposte. De nombreux exemples dans le monde et notamment en Amérique latine confirment que face à l’impérialisme et à la force de son argent et de ses armes, se réconcilier avec ses ennemis, c’est se rendre », a-t-il déclaré.

Fort a dénoncé que les plans de déstabilisation avec le soutien logistique, médiatique et financier de l’étranger étaient orchestrés pour créer des problèmes le jour même où la plus grande des Antilles rouvrait ses frontières au tourisme et achevait le retour en classe pour l’enseignement en face à face.

Joseph Biden et les opérateurs locaux et de Miami pensaient pouvoir susciter la violence et la discorde à Cuba en tirant parti de sa grave crise économique, largement due au blocus que lui impose Washington.  « Cependant,  ils ont échoué pour une raison majeure : le peuple dans la rue a déjoué la provocation », a-t-il souligné.

Selon le journaliste français, « à Cuba on résiste sans hésiter,  puisqu’on connaît l’ennemi principal : l’impérialisme étasunien ».

Pour  le journaliste, la journée d’hier a laissé une conclusion claire : la force de la Révolution réside toujours dans sa capacité à mobiliser la population.

jcc/mem/wmr

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