Téhéran, 19 novembre (Prensa Latina) L’Iran a réaffirmé aujourd’hui que les États-Unis sont responsables de la crise provoquée par leur retrait du Plan global d’action conjoint (JCPOA) ou accord nucléaire, scellé en 2015 entre Téhéran et six puissances mondiales.
Afin de réactiver ce consentement, les autorités iraniennes reprendront le dialogue à la fin du mois à Vienne, en Autriche, avec le reste des signataires (Royaume-Uni, France, Russie, Chine et Allemagne).
La priorité des négociateurs de la République islamique est l’abolition complète et effective des mesures anti-iraniennes oppressives imposées par Washington, suite à sa sortie du pacte en 2018.
Le ministre des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdolahian, a corroboré que l’objectif de l’Iran de participer aux prochains pourparlers était la levée des sanctions.
Les signataires de l’accord multilatéral, couvert par la résolution 2231 des Nations unies, ont convenu que le gouvernement nordique était à blâmer en raison de la non-application du traité.
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