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Diaz-Canel rejette les campagnes de discrédit contre Cuba

La Havane, 22 décembre (Prensa Latina) Le président de Cuba, Miguel Diaz-Canel, a rejeté aujourd’hui les campagnes de discrédit contre son pays et réaffirmé que la nation caribéenne est régie par un ordre démocratique et défend les droits de tous ses citoyens.

Lors de la clôture de la huitième session de la neuvième législature du Parlement, le mandataire a signifié que les qualificatifs (sur les réseaux sociaux) d’État défaillant et de dictature que certains veulent imposer à l’île par la force, par de fausses informations et autres ne sont pas conformes à la réalité cubaine.

Un État en déliquescence ne peut supporter 62 ans de blocus économique, ni une dictature ne peut le faire, a-t-il affirmé, tout en condamnant l’attitude de ceux qui prétendent diaboliser le système politique cubain en le présentant comme un système sans constitution et sans lois.

Ils tentent de dissimuler le soutien populaire à la grande charte, démontré lors d’une consultation et d’un référendum, a-t-il déclaré en rappelant que la loi contient les principes qui régissent la société.

« Cuba est un État socialiste de droit et de justice sociale, démocratique, indépendant et souverain, organisé avec tous et pour le bien de tous en tant que république unitaire et indivisible, fondée sur le travail, la dignité et l’humanisme », a manifesté Diaz-Canel en citant le premier article de la Constitution.

Il a fait observer l’importance de revenir sur ce principe qui permet de comprendre les essences de Cuba, car, dès ce premier paragraphe, il est dit que la nation caribéenne s’appuie sur « l’éthique de ses citoyens pour la jouissance de la liberté, de l’équité, de l’égalité, de la solidarité, du bien-être et de la prospérité individuelle et collective ».

Dans la Cuba réelle, pas celle construite avec des étiquettes et des appellations, nous sommes tous obligés de respecter la Constitution, a-t-il souligné, et par conséquent, ceux d’entre nous qui dirigeons (le pays), nous avons l’obligation de respecter les exigences et de nous soumettre au contrôle populaire, a-t-il ajouté.

Cela n’est possible et viable que dans le socialisme, a-t-il insisté, en questionnant la morale de ceux qui qualifient le pays d’antidémocratique: question dont la seule réponse est le fait que l’île ne se soumet pas au pouvoir impérial.

Le président a estimé que le modèle que certains tentent d’imposer à Cuba favorise l’inégalité, l’égoïsme, la pauvreté, la violence, l’injustice, l’inégalité et le pouvoir des élites économiques.

peo/msm/kmg

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