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Les États-Unis ne se soucient pas des droits de l’Homme à Cuba, affirme le ministre des Affaires étrangère de l’île

La Havane, 17 février (Prensa Latina) Le ministre des Affaires étrangères de Cuba, Bruno Rodriguez, a réitéré hier que le gouvernement des États-Unis ne se préoccupe pas des droits de l’Homme des citoyens de l’île des Caraïbes.

Sur son compte Twitter, il a qualifié de cyniques les déclarations de représentants du gouvernement des États-Unis concernant des individus desquels il prétend défendre la liberté alors qu’il les a ouvertement financés et exhortés à violer les lois insulaires, chose qu’il ne permettrait jamais à autrui de faire sur son territoire. 

Un message publié hier par le secrétaire d’État nord-américain Antony Blinken a appelé le gouvernement cubain à libérer le citoyen Luis Manuel Otero et les personnes arrêtées suite aux émeutes du 11 juillet dernier, que les autorités de la nation caribéenne ont dénoncé pour leur violence et les dommages causés à des installations.

Cuba a condamné le fait que ces actions ont été promues par les États-Unis à partir de la gestion de plates-formes numériques et des réseaux sociaux, desquels la déstabilisation de l’ordre constitutionnel, la haine et la désobéissance civile ont été promues.

L’île a également dénoncé le financement de projets de subversion et la remise de prix internationaux pour masquer le financement de la contre-révolution, entre autres stratégies d’ingérence.

Pendant la période de la pandémie, Washington a en outre intensifié le blocus économique, commercial et financier imposé à Cuba, considéré comme la principale violation des droits de l’Homme sur l’île et la plus longue injustice de l’histoire, lequel limite l’accès aux habitants du pays à des ressources de base comme la nourriture et les médicaments.

peo/car/Lrg

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