vendredi 26 juillet 2024 |
Prensa Latina - Qui sommes nous

| Contacter avec Prensa Latina

Agence d'information Latino-américaine
Édition française
Search
Close this search box.

Cuba dénonce à Genève le terrorisme impuni promu depuis les États-Unis

Genève, 15 mars (Prensa Latina) Cuba a dénoncé aujourd’hui devant le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU l’impunité avec laquelle des actes terroristes contre l’île sont promus depuis le territoire des États-Unis et a exigé qu’il soit mis fin de cette pratique.

Dans la continuation des débats de la 49e session de l’organe basé dans cette ville suisse, la diplomate Mirthia Julia Brossard a répudié le fait que sur les plateformes numériques et les réseaux sociaux, des individus et des groupes basés dans l’État de Floride (Sud-Est des États-Unis) appellent à la violence et au terrorisme pour attaquer la nation antillaise.

Nous réitérons également la dénonciation des attentats terroristes perpétrés contre nos ambassades à Washington et à Paris, en 2020 et 2021 respectivement, a-t-elle déclaré dans un dialogue interactif avec Fionnuala Ní Aoláin, rapporteuse spéciale sur la Promotion et la Protection des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales dans la Lutte contre le Terrorisme.

La représentante de Cuba a réaffirmé l’engagement du pays des Caraïbes à lutter contre ce fléau et a rappelé sa position historique de rejet et de condamnation de tous les actes, méthodes et pratiques terroristes sous toutes leurs formes et manifestations.

Cuba n’a jamais permis et ne permettra jamais que son territoire soit utilisé pour organiser de telles actions, a-t-elle affirmé.

Dans son intervention, Brossard a également manifesté la condamnation de l’île de son inclusion dans la liste des États parrainant le terrorisme, mécanisme unilatéral de Washington qu’elle a qualifié de fallacieux.

Dans le but d’apporter un éclairage au Conseil des droits de l’Homme, la diplomate a par ailleurs indiqué que les mentions dans le rapport de la rapporteuse spéciale sur la situation à Guantanamo n’ont rien à voir avec le gouvernement cubain, en référence aux installations militaires des États-Unis situées sur une partie du territoire cubain illégalement occupé.

peo/mgt/wmr 

EN CONTINU
notes connexes