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Les entraves à Prensa Latina heurtent la liberté d’expression

Paris, 6 mai (Prensa Latina) Le Collectif ALBA-TCP France a dénoncé vendredi comme une transgression de la liberté d’expression les obstacles que le gouvernement étasunien met au travail de Prensa Latina à l’ONU et à Washington en retardant les visas de ses correspondants.

 

Voilà une nouvelle tentative contre la liberté de presse et d’expression et le droit des citoyens à accéder à des informations véridiques, a communiqué l’organisation qui rassemble des latino-américains solidaires des pays prônant leur souveraineté et leur autodétermination.

Depuis décembre 2019, les journalistes de Prensa Latina accrédités au siège des Nations unies à New York attendent un visa pour retourner à leur travail, une situation avec laquelle les États-Unis ne respectent pas leurs engagements en tant que pays hôte de l’organisation multilatérale.

L’association ALBA-TCP France a qualifié le retard dans la délivrance des visas d’injustice et de politisation.   

« Le professionnalisme des correspondants de cette agence latino-américaine ne peut pas être limité de manière arbitraire ; l’ONU n’appartient pas au gouvernement des Etats-Unis simplement parce qu’elle s’y trouve », a averti l’association.

Dans une situation similaire, les journalistes de Prensa Latina à Washington DC, qui, lors d’un voyage à Cuba en vacances en 2019, n’ont pas reçu de visa de retour.

Depuis sa création en juin 1959, l’agence de presse basée à La Havane, qui dispose de bureaux dans 40 pays sur plusieurs continents, offre une vision alternative des événements à celle transmise par les monopoles de l’information, dont le centre se trouve précisément aux États-Unis.

jcc/mgt/wmr

 




 

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