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La gauche du Parlacen répudie la guerre états-unienne contre Cuba

Ville de Guatemala, 24 juin (Prensa Latina) Le Groupe parlementaire de gauche (GPI) du Parlacen a exprimé son rejet des agressions des États-Unis contre le peuple et le gouvernement de Cuba depuis plus de 60 ans.

Faisant partie du Parlement centraméricain (Parlacen, par ses sigles en espagnol), le groupe de députés a rejeté jeudi les actions qui, dans le cadre de la guerre politique, économique et financière du blocus, cherchent à encourager le mécontentement populaire et à générer des mobilisations contre le système social choisi par la nation caribéenne, rapporte un communiqué auquel Prensa Latina a eu accès.

« Le gouvernement impérialiste des États-Unis a toujours songé à renverser la révolution socialiste depuis son triomphe historique, cependant, une à une, toutes ces intentions ont échoué, parce que le peuple conscient et organisé a toujours été prêt à défendre sa révolution et ses acquis », souligne le texte.

En ce sens, celui-ci rappelle les multiples campagnes de déstabilisation et de discrédit politique avec le recours à des millions de dollars et l’utilisation de technologies sophistiquées d’information et de désinformation pour créer une atmosphère d’hostilité, d’insécurité et pour promouvoir un soulèvement contre le gouvernement.

Mais on constate, reconnaît le GPI, qu’ « une fois de plus, le gouvernement socialiste et révolutionnaire, avec son peuple, a su défendre les acquis de sa révolution et surmonter la pandémie de Covid-19 et les autres maux qui l’ont frappé ».

La déclaration reconnaît la situation économique difficile que traverse Cuba en raison de la crise mondiale et de la pandémie de Covid-19, une situation accentuée, précise-t-elle, par « le blocus brutal et génocidaire imposé il y a 63 ans et, plus récemment, par les mesures de renforcement du président nord-américain Joe Biden et de son prédécesseur, Donald Trump (2017-2021) ».

Malgré les difficultés commerciales et financières, les parlementaires reconnaissent l’île comme un pays sûr, stable, uni, organisé et capable de faire face aux grands défis.

« Cuba ne traverse pas de crise et sa population n’est pas en danger. Cuba n’est pas seule, les peuples du monde sont avec elle », conclut le document lu lors de la session plénière du Parlacen à Tegucigalpa, au Honduras.

jcc/ssa/rgh/mmc

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